Obra del escultor argentino Tito Irrazabal, fue inaugurado el 14 de Septiembre de 2019. Realizado en metal y con más de 4 metros de altura representa a un soldado argentino en posición de avance contra el invasor y en defensa de nuestras Islas Malvinas. Participaron del proyecto la Agrupación de Veteranos y la Municipalidad de Exaltación de la Cruz junto a empresas y vecinos que con su aporte permitieron concretar este homenaje.

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Un monolithe indique le champ de la bataille de 1820, lorsqu’en Argentine il y avait une guerre entre Buenos Aires et les « caudillos » des provinces intérieures.
C’est le 28 juin de cette année 1820 que ces champs furent la scène de l’affrontement appelée Bataille de la « Cañada de la Cruz », lors de laquelle se sont affrontés les forces fédérales de l’intérieur contre l’armée de Buenos Aires. Le bilan fût de 200 morts, et finalement les fédéraux furent vainqueurs, ce qui permit d’initier un processus d’unification du pays sur une base fédérale.

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Point de rencontre traditionnel pour les habitants et visiteurs. Il a ouvert ses portes en 1925 grace a Don Alfino Di Yorio et Doña Juana Basiglio qui à cette époque fournissaient nourriture et hébergement aux voyageurs et aux touristes.
Aujourd’hui, ses héritiers entretiennent cette mémoire ancestrale à travers de nombreux objets historiques comme la première télévision et le premier téléphone public de la ville installée dans ce bar, et la grande malle avec laquelle leurs ancêtres sont arrivés d’Italie. Fiers de cet héritage familial et communautaire ses descendants actuels aiment raconter des histoires, des légendes et des anecdotes à quiconque souhaite en savoir un peu plus sur ce bar presque centenaire.

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Elle est la plus ancienne « pulperia » de toute la région, et tient son nom en référence aux deux Ombus, arbre particulièrement représentatif de l’Argentine, qui marquent l’accès à l’endroit. Avec plus de 200 ans d’histoire le lieu continue d’accomplir la même fonction qu’autrefois. C’est à dire, être le point de réunion de gauchos, que se soit pour s’approvisionner en marchandises ou pour se renseigner sur les dernières nouvelles du village, ou encore pour se distraire autour d’une partie de pétanque, de truco, ou de billard.
Dona Elsa, la « pulpera », vous racontera des détails sur l’ancienne histoire de ce lieu au travers de la grille qui la sépare des clients, le tout agrémenté des aventures de Juana, la « Cacica » (Chef) du Peuple des Noirs.

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Ce coin de rue du début du XXème siècle est surplombé par l’effigie d’un lion. Celui-ci fait écho à l’antagonisme commercial qui opposa Manuel Ballesteros, ancien propriétaire du lieu, à Don Viola, qui plaça sur sa boutique de l’autre côté de la rue, un énorme panneau représentant un tigre prêt à bondir.

Ceci, de sorte à ce que tout le village appelle respectivement les boutiques de Viola et Ballesteros, celle du tigre et celle du lion.

La rivalité de s’arrêta pas là, en effet l’envie sans cesse plus grande d’attirer de nouveaux clients les conduisit à casser les prix, et ce jusqu’à en arriver à des montants totalement dérisoires, pour le plus grand bonheur du voisinage.

Cette propriété fait à présent l’objet d’un projet de restauration intégrale de sa façade.

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Cette « Casa de altos », comme on le disait à l’époque, fut construite pendant la seconde moitié du XIXème siècle. Il est à ce titre important de remarquer la tour-mirador et sa coupole recouverte de majoliques, qui se termine par une girouette.

À l’origine, au rez-de-chaussée se trouvaient un casino, une salle de jeux, un relais, ainsi que des chambres à coucher. C’est ici que le beau monde, vêtu en « ropa larga », habits en queue de pie et haut-de-forme, arrivait en carrosse et berline afin d’animer les réunions entre amis qu’organisait la famille Lamarque, ancienne propriétaire des lieux.

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Fondée le 7 Décembre 1867, cette institution est la première de Secours Mutuel de la circonscription. L’édifice aux briques apparentes, fut construit à l’initiative de plusieurs collectivités du village et ses grilles furent l’œuvre de l’artiste Don Santiago Maydac.

De nos jours, c’est le siège du Centre Culturel Municipal qui rappelle l’histoire de l’institution.

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